Les 5 types de motorisation
Peu importe le modèle de portail battant, ils peuvent tous être motorisés, sous condition d’adopter la bonne motorisation selon le matériau et le terrain :
– à vérin pneumatique fonctionnant grâce à de l’air comprimé, à vérin hydraulique fonctionnant grâce à de l’huile sous pression, à vérin électrique fonctionnant à l’électricité.
* La motorisation à vérins est destinée aux portails solides car elle agit sur les gonds. Elle est conseillée aux modèles en acier et déconseillée pour l’aluminium, le PVC et le bois.
– à bras hydrauliques (motorisation performante) ou électromécanique. Sur chaque vantail est fixé un bras mécanique.
– à roues, l’idéale pour pente ou terrain déformé. L’ouverture s’effectue grâce à une petite roue au bas de chaque vantail. La motorisation la moins chère du marché et facile à installer.
– enterrée, solide et durable mais la plus chère car des travaux de maçonnerie sont à envisager. Invisible, enterrée au pied de chaque vantail, proche des piliers.
– Intégrée, le mécanisme se trouve dans les montants des vantaux, donc à prévoir lors de l’achat du portail.
Les avantages et les inconvénients
– à vérins : bon compromis mais la motorisation n’est pas adaptée à tous les modèles de portail battant.
– à bras : bon compromis mais prend de la place quand les vantaux sont ouverts.
– à roues : commode et astucieux, convient à tous les types de terrain et tous les angles d’ouverture mais inesthétique.
– enterrée : invisibilité du système mais réclame des travaux.
– intégrée : invisibilité du système mais “inconfortable” en cas de panne.
Quelle motorisation pour quel matériau de portail ?
– à vérins : pour portail en bois, PVC, aluminium.
– à bras : pour portail en acier et en fer.
– à roues : pour tous les types de matériau.
– enterrée ou intégrée : pour tous les types de matériau.
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Tarifs
– à vérins : entre 500 € et 2 000 €
– à bras : de 400 € à 900 €
– à roues : 600 € en moyenne
– enterrée ou intégrée : 1 000 € minimum
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